Les images et les vidéos sont deux éléments essentiels pour définir et entretenir une image de marque. Indispensables sur les réseaux sociaux, qui sont une porte d’entrée et une vitrine importante pour les annonceurs, les ressources visuelles sont aussi utilisées par les services communication et marketing, par les commerciaux, le service client, les responsables produits ou encore le pôle design. Au sein d’une entreprise, tout le monde – ou presque – utilise et accumule des images. À tel point que cela peut très vite devenir difficile à gérer. Une banque d’image devient alors indispensable pour faciliter les procédures et éviter de nombreuses déconvenues.
#1 Gagner du temps… et de l’énergie !
Certains secteurs comme le retail sont particulièrement concernés par l’accumulation d’images. Du design au shooting, jusqu’à la mise en ligne des produits et la création de visuels supplémentaires destinés aux réseaux sociaux, le retail crée et conserve énormément d’images tout au long de sa chaîne de métiers.
Pour ces entreprises et leurs chefs de projet, il est donc important de pouvoir accéder aussi vite et facilement que possible à la ressource recherchée, mais également d’améliorer le workflow en perdant moins de temps à fouiller dans des fichiers ou à demander à plusieurs intermédiaires de transmettre une image à laquelle on n’a pas accès. Ces nombreuses tâches sont non seulement chronophages, mais sont aussi généralement dédiées à un ou deux collaborateurs qui croulent sous les demandes… et sont potentiellement amenés à commettre une erreur.
Créer une banque d’images permet aux entreprises d’automatiser ces process chronophages, et donc d’économiser le temps de leurs salariés.
#2 S’organiser
Pour faciliter la recherche de visuels, la banque d’images centralisant l’ensemble des ressources doit être organisée selon plusieurs critères.
- Les métadonnées sont primordiales : elles garantissent le fait que l’image sera trouvable, et ce, peu importe la logique – très personnelle – du collaborateur qui la recherche.
- Nommer les fichiers selon une convention établie, logique et universelle, est également le point clé d’une bonne organisation : personne ne trouvera le fichier « IMG28267439 » !
- Par ailleurs, il faut veiller à bien gérer les accès des utilisateurs. C’est particulièrement vrai dans le retail : tout le monde n’a pas accès aux mêmes fichiers. Les autorisations d’accès dépendent souvent du métier exercé ou du rôle au sein de la hiérarchie. Les accès deviennent alors très vite un enjeu essentiel pour une bonne organisation au sein de l’entreprise : cela permet à chaque département ou collaborateur de n’avoir accès uniquement à ce dont il a besoin, et ainsi de ne pas se perdre dans des dossiers non pertinents.
#3 Assurer l’image de marque
Un des plus forts enjeux pour les entreprises est de réussir à conserver l’uniformité et la cohérence de leur identité de marque. Certains pôles, comme le design et le marketing, travaillent souvent ensemble. Il leur est facile d’échanger les ressources et de savoir quelle image doit être utilisée à quel moment. Néanmoins, ils peuvent également être amenés à travailler avec d’autres services. Dans ces cas, il est important – mais challengeant – de ne pas dévier des lignes directrices de la marque.
Par exemple, lorsqu’une entreprise passe par un rebranding, il est courant que certains services, comme la comptabilité, continuent d’utiliser l’ancien logo sur les factures sortantes, six mois après que la nouvelle identité a été mise en place.
Utiliser une banque d’image permet à chacun, au sein de l’entreprise, d’être impliqué dans la création de contenus, et d’avoir facilement accès aux visuels produits pour les réutiliser selon leurs propres besoins.
Une banque d’image est indispensable pour les entreprises qui ont recours à de nombreux visuels – et aujourd’hui, à l’heure du « mass content », toutes les entreprises, ou presque, sont concernées : elle permet de faciliter l’organisation et le travail en équipe, de garantir un gain de temps et d’assurer la cohérence de l’identité de l’entreprise.
