Avec l’essor de la communication visuelle et l’importance grandissante des photos et de vidéos pour des acteurs comme le retail ou le e-commerce (photos et vidéos contribuant fortement à l’achat), mais aussi pour les marques, les médias et la presse, les entreprises ressentent aujourd’hui plus que jamais le besoin de s’équiper d’outil permettant d’agréger, de gérer et de partager tous ces contenus multimédias. Dans cette ère du « mass content », les plateformes de DAM (Digital Asset Management) deviennent le plus fidèle allié des entreprises.
Quelles sont les attentes et les usages du DAM pour les entreprises ?
Archimag a mené une enquête auprès de 150 organisations sur les usages du DAM et sur la façon dont elles gèrent leurs ressources multimédia. Ces chiffres montrent que, malgré la transformation digitale enclenchée par beaucoup, le “bricolage” reste de mise et le DAM à l’état de projet.
En effet, 63% des organisations ne sont pas encore équipées d’une solution de DAM. 1 sur 4 est simplement en train de se renseigner sur le sujet et 1 sur 10 est à la recherche d’une solution : le terrain du DAM reste à défricher et à évangéliser pour les éditeurs de solutions.
Pourtant, les DAM offrent de nombreuses fonctionnalités et couvrent un large éventail de besoins, de la simple gestion de photos et de vidéos (façon “médiathèque”) à la création de circuits de validation plus complexes (pour du “packaging produit” par exemple), avec différentes options de déploiement. Et ce, à des conditions tarifaires accessibles à tout type d’organisation, y compris les PME. Désormais, le DAM n’est plus l’apanage des grands comptes et des ETI.
Qu’est-ce que l’IA apporte au DAM ?
L’intelligence artificielle fait progresser le DAM à pas de géant. En intégrant au sein de leur DAM des algorithmes capables de reconnaître automatiquement les principales composantes d’une photo, les éditeurs rendent l’indexation plus simple, plus complète et plus rapide. Grâce à l’IA, le DAM permet également de faciliter la mise en page, de sous-titrer automatiquement les fichiers audio et vidéos ou encore de géolocaliser et chapitrer les vidéos. Ajoutez à cela la reconnaissance automatique de la couleur dominante, des formes, des paysages, des objets et des visages, et vous comprendrez aisément pourquoi le travail d’indexation gagne en efficacité.
Gestion des contenus : à quel moment le juridique entre-t-il en jeu ?
Dès que vous vous attaquez à la diffusion de photos et des vidéos, vous vous retrouvez forcément confrontés à la question des droits. Et dans ce domaine, si vous n’avez pas de formation de documentaliste ou de juriste, le sujet peut devenir complexe. Car entre les droits d’auteur et le droit à l’image, la confusion est souvent de mise. L’affaire n’est pourtant pas à prendre à la légère.
Droit d’auteur, droit à l’image, autorisation de diffusion ou même autorisation spéciale : la gestion des ressources digitales répond à des règles strictes et doit être bien encadrée.
Sur ces questions épineuses, le DAM est d’une aide précieuse : toutes les plateformes intègrent en effet des fonctionnalités liées à la gestion des droits afin d’associer à chaque média les mentions légales, les consentements accordés et la durée de validité des droits.
Un livre blanc pour répondre à toutes vos questions sur le DAM
Développé par L’Agence Digitale d’Archimag, ce livre blanc, entièrement consacré au DAM, est un guide complet pour familiariser les entreprises avec ce marché, son offre, ses solutions, ses principaux usages et passe en revue l’ensemble des fonctionnalités que les plateformes proposent, ainsi que les bénéfices qu’elles peuvent apporter.
Vous découvrirez aussi quels avantages en tirent les organisations qui sont équipées, ce qu’elles attendent de l’intelligence artificielle, quel volume et quel type de médias elles gèrent, comment et avec qui elles les partagent et quels sont les problèmes auxquels elles sont confrontées (et que le DAM règle totalement ou en partie).