« D’accord, recommençons ! Vendez le serveur de polices sur Craigslist ! »
Il a toujours rejeté l’idée d’un gestionnaire créatif de la technologie de l’information (ou d’un gestionnaire de la technologie de l’information pour l’infrastructure, d’un spécialiste en technologie de l’information ou d’un responsable de l’infrastructure). Et personne parmi les dirigeants n’essaie d’exploiter le maximum de valeur de leur technologie actuelle de serveur de polices sur site pour justifier les énormes dépenses en capital. Du moins, pas lorsqu’il s’agit de passer des serveurs de polices sur site (et des serveurs de ressources numériques) au cloud.
Je ne peux pas les blâmer. En tant qu’êtres humains, nous avons tous tendance à courir après les coûts non récupérables. Ce phénomène étrange se produit parce qu’il est difficile d’ignorer ce que nous pensons des décisions antérieures qui ont conduit à d’importants investissements en termes de temps, d’argent et d’efforts qui n’ont pas encore porté leurs fruits (ou ne le feront peut-être jamais).
Alors, en réalité, au lieu de prendre aujourd’hui des décisions axées sur les objectifs qui construiront notre avenir (c’est-à-dire en ignorant les coûts non récupérables), nous prenons des décisions qui justifient les choix que nous avons faits hier, le mois dernier, l’année dernière ou même il y a dix ans (c’est-à-dire courir après les coûts non récupérables), ou qui nous aident à nous sentir mieux.
Ce qui est totalement fou ! Puisque le passé s’en est allé et est perdu pour toujours. Certes le passé ne devrait pas être ignoré (réfléchir sur le passé est censé nous aider à apprendre, n’est-ce pas ?), mais cela ne devrait certainement pas nous empêcher de bâtir un avenir, ou même une entreprise, dont nous sommes fiers.
Alors, pourquoi les agences et les maisons de production sont-elles tout de même aussi engagés en ce qui concerne les coûts non récupérables des infrastructures de serveurs de polices sur site ?
Pour les débutants, la volonté d’une organisation de s’éloigner d’un serveur de polices sur site dépend de l’investissement déjà réalisé et du calendrier actuel. La fin de vie (EOL) des serveurs de polices est de 5 à 7 ans. La plupart des entreprises commenceront à penser à modifier (y compris à vendre) l’infrastructure abritant leurs serveurs de polices à l’approche de la date de fin de vie, bien que les besoins professionnels des entreprises empêchent ces derniers de vendre des serveurs en fin de vie pour des raisons de sécurité. (Dans la plupart des cas, les serveurs sont recyclés par l’intermédiaire d’un partenaire.)
Ainsi, une entreprise qui vient d’investir du capital dans la mise en œuvre d’un serveur de polices, ou une organisation qui dispose d’un serveur dont la fin de vie n’est pas proche, est moins susceptible de passer à un produit cloud tant qu’elle n’a pas exploité le maximum de valeur du serveur sur site. Même si le serveur les empêche de profiter de l’économique frugale, de l’innovation rapide et des ressources variables qu’offrent les solutions cloud.
En parlant de « retenue », il existe une multitude d’autres raisons pour lesquelles les responsables informatiques créatifs et autres (ainsi que les directeurs de production et de création) hésitent à passer au cloud :
Pourtant d’autres professionnels de l’informatique issus de nombreux secteurs se perfectionnent en matière de technologie et de déploiement dans le cloud. Selon une entreprise mondiale de technologie de l’éducation KnowledgeHut (Voici un lien vers leurs Accréditations ), ceci est dû au fait que les emplois et les compétences en rapport avec le cloud dominent le marché de la technologie :
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“Près de 89% des entreprises mondiales utilisent le Logiciel en tant que Service (SaaS). L’Infrastructure en tant que service (IaaS), le service Cloud dont la croissance est la plus rapide, a un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 33,7 %.” — KnowledgeHut, Cloud Computing Demand: Overview of the Market, Jobs, & Scope, Binod Anand, 2/23/2023. |
Hmmm, cela ressemble à un groupe des informaticiens qui adoptent le cloud (et l’opportunité qu’il représente) au lieu de courir après les coûts non récupérables. En effet, en plus de prendre en charge des projets de croissance supplémentaires après avoir abandonné l’infrastructure abritant le serveur sur site, un spécialiste en informatique a beaucoup de travail à faire dans un environnement cloud virtuel. Parmi les sujets d’actualité encore brûlants pour les responsables créatifs des technologies de l’information et les responsables de l’infrastructure qui ont déjà la tête dans le cloud, citons :
Conclusion : de nombreux professionnels créatifs des technologies de l’information recherchent des moyens innovants de travailler pour eux-mêmes et leurs équipes de conception dans le cloud, au lieu de travailler pour les machines. Mais d’autres restent figés dans le modèle de gestion des serveurs de polices sur site et de poursuite des coûts non récupérables. La bonne nouvelle, c’est que les coûts cachés actuelsdes serveurs de polices sur site peuvent facilement dépasser les coûts fixes et non récupérables associés à leur administration et à leur gestion. Ce qui fait des coûts cachés de la technologie des serveurs de polices le levier idéal pour échapper à l’ornière du centre de données hébergé.
Voici ce qu’une grande agence a récemment sauvé en migrant vers le cloud avec Connect Fonts :
| Coûts fixes de l’infrastructure | Coût annuel | ||
| ¼ rack (location en colocation) | 5,000 $ | ||
| Consommation électrique (environ 6 ampères) | 4,300 $ | ||
| Augmentation des coûts de bande passante | 1,200 $ | ||
| Répartiteur (armoire à MMR) | 600 $ | ||
| TOTAL: | 11,100 $ | ||
| Coûts variables | |||
| Temps consacré à la recherche, à la comparaison et au partage des actifs | 10,000 $ | ||
| Contrôles d’accès à distance et par des pigistes SSO, bibliothèques d’équipe | 1,200 $ | ||
| Coûts de support et de dépannage : VPN, ressources, mises à jour et maintenance informatique- les tickets informatiques y relatifs, ainsi que sauvegarde et reprise après sinistre | 5,000 $ | ||
| TOTAL: | 16,200 $ | ||
| ÉCONOMIES ANNUELLES TOTALES : | 27,300 $ | ||
Ces économies témoignent d’une augmentation de la productivité, d’une croissance des revenus et de marges de profits considérables. Bien entendu, les économies varient en fonction des structures des technologies de l’information. Et les coûts variables couvrent toute la gamme, compte tenu des différences dans la façon dont l’homme évalue le temps par rapport à la valeur temps . Une bonne règle de base consiste à évaluer en salaires (prix) ou en heures facturables perdues (valeur) le temps que votre entreprise consacre à...
Ajoutez ensuite ce nombre au total des coûts fixes de votre infrastructure (hereil existe une évaluation de l’infrastructure, accompagnée d’un tableau de calcul, que vous pouvez utiliser ici ) pour trouver la somme totale des économies estimées.
Nous parions que le résultat vous fera reconsidérer le bien-fondé d’héberger votre centre de données sur site et de courir après les coûts non récupérables. Peut-être que l’idée de vendre votre serveur sur Craigslist n’est pas une mauvaise idée après tout. En fait, c’est probablement la prochaine meilleure étape pour bâtir une entreprise dont vous êtes fier.
Si vous souhaitez en savoir plus sur nos réalisations, consultez notre article de blog «What’s New With Connect Fonts». Pour approfondir les sujets qui comptent pour les leaders créatifs, de l’écoute et de la prise de décision à l’évolution du marché créatif et à l’avenir de la gestion des polices, découvrez le bilan de cette année du PDG d’Extensis, Toby Martin
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